Procéder à une vérification de l’état des disques et plaquettes

La vérification de l’état des disques de frein et des plaquettes concerne tant les voitures anciennes que modernes. Cependant, le petit avantage des voitures récentes est qu’elles sont équipées de voyants lumineux indiquant la nécessité de changer certaines pièces, dont les disques et plaquettes de frein.

Attention, le remplacement et le rodage de votre disque de freins ou des plaquettes de frein doit être assuré par un professionnel. C’est important, car il y va de votre sécurité.

Ceci étant dit, même si l’entretien d’une voiture doit être réalisé par un professionnel, rien ne vous empêche de procéder à un contrôle de l’état de vos disques. Pour ce faire, vous avez besoin d’un outil de mesure précis tel qu’un pied à coulisse. Il est utile pour vérifier l’épaisseur de votre disque de frein et voir s’il a atteint son épaisseur minimale. A noter que l’épaisseur minimale peut varier en fonction du modèle de votre voiture. En tous les cas, si vous remarquez des fissures ou rayures, il est temps de procéder à un remplacement. Les plaquettes de frein doivent également être changées si elles sont devenues trop fines.

Comment augmenter la durée de vie de vos freins ?

Le système de freinage est actionné par le frottement des plaquettes sur les disques. Le coût de remplacement de ces pièces varie en fonction du type de votre véhicule. Cependant, en moyenne, vous devez prévoir entre 100 et 250 euros pour remplacer vos plaquettes. Le remplacement des disques de freins coûte en moyenne 195 euros.

Pour faire des économies, pensez à augmenter la durée de vie de vos freins. Pour ce faire, vous devez modifier votre style de conduite. Si vous avez tendance à freiner fort, vos freins risquent d’user plus vite. Si vous roulez en ville et utilisez fréquemment votre système de freinage, vos freins risquent de ne pas durer. Ainsi, pour éviter que vos freins ne s’usent trop vite, roulez plus lentement et anticipez les ralentissements.

Où acheter ?

Lorsque vous cherchez à acheter des pièces détachées en ligne, privilégiez les magasins spécialisés dans les voitures sans permis. C’est le cas de vspieces.com/ qui, en plus, possède une boutique physique ainsi que des centres de montage et de réparation des voitures sans permis. Mieux encore, choisissez un revendeur agréé par le constructeur de votre véhicule (un concessionnaire). Vous y trouverez des pièces d’origine, dont la traçabilité est possible. En plus, la compatibilité avec votre VSP est assurée. Pour en revenir avec l’enseigne précédente, elle travaille avec Aixam, Bellier, Casalini, Chatelet, Italcar, etc. Généralement, dans ces établissements, vous pouvez bénéficier de conseils d’experts.

Mais ce critère ne suffit pas. Votre revendeur de pièces détachées pour voitures sans permis doit être présent depuis longtemps sur ce marché. Une enseigne en activité depuis les années 80, par exemple, n’a plus rien à prouver ! Prêtez attention au site e-commerce : les renseignements sont-ils faciles à chercher, car bien catégorisés ? Avez-vous droit à des informations détaillées sur les produits. Lisez les avis clients, les conditions de vente, les modalités de livraison et de retour. Les meilleurs sites ont souvent une hotline et un service client réactif.

Outre les concessionnaires et importateurs spécialisés dans les voitures sans permis, vous pouvez chercher vos pièces du côté des équipementiers et fabricants de pièces. Eux aussi ont des boutiques en ligne. Les constructeurs automobiles confirment la compatibilité des pièces avec les voitures.

Pourquoi acheter dans ces établissements ?

L’existence d’un fournisseur en pièces détachées fait partie des points à prendre en considération avant l’achat d’une voiture, y compris celui des voitures sans permis. Lorsque vous choisissez mal le commerçant, vous risquez de tomber sur des pièces de mauvaise qualité, contrefaites ou non conformes aux spécifications du constructeur. Vous compromettez alors votre sécurité, mais aussi la performance et la robustesse de votre véhicule. Vous n’êtes plus à l’abri de pannes prématurées ni de réparations coûteuses. Sans compter que les vendeurs peu scrupuleux n’offrent souvent aucune garantie sur les pièces vendues. En cas de problème, vous n’aurez aucun recours. À l’inverse, les revendeurs de confiance proposent des garanties et un service après-vente satisfaisant.

La vérification du véhicule en location saisonnière

Procédez à ces vérifications pour vous assurer que le véhicule est en bon état, mais aussi pour éviter tout problème ou le paiement de frais supplémentaire à la fin de la location. Vous trouverez des précisions sur Liberté Roulante, car ce site regorge de conseils d’experts sur la location saisonnière. Voici la checklist dont vous aurez besoin pour la vérification.

Les vérifications techniques de la voiture

– État extérieur de la voiture : inspectez la carrosserie pour vérifier qu’il y aucun dommage. Si oui, notez si le ou les dommages sont précisés dans le contrat de location.
– État intérieur du véhicule : inspectez les sièges, les tapis, le tableau de bord et chaque équipement intérieur pour repérer les dommages et les zones avec de la saleté excessive.
– Niveau de carburant : vérifiez qu’il correspond à ce qui est indiqué dans le contrat.
– Pression et état des pneus : les pneus doivent être en bon état et correctement gonflés. Vérifiez aussi la présence d’une roue de secours et d’un cric.
– Niveau des liquides : vérifier les niveaux d’huile et de liquide de refroidissement.
– Équipements de sécurité : vérifiez la présence et le bon fonctionnement des équipements de sécurité (gilets, triangle de signalisation, etc.).
– Fonctionnalités : testez les phares, les clignotants, l’essuie-glace, la climatisation, le système audio, etc.
– Kilométrage : notez le kilométrage actuel.
– État du moteur : écoutez le moteur pour détecter tout bruit inhabituel.
– Équipements supplémentaires : si vous avez demandé des équipements supplémentaires (siège bébé, GPS, etc.), assurez-vous qu’ils sont dans la voiture et qu’ils fonctionnent correctement.

Les vérifications administratives

– Vérifiez que tous les documents nécessaires (assurance, carte grise, etc.) sont dans la voiture.
– Vérifiez que le contrat prévoit un service de dépannage-remorquage en cas de panne ou d’accident.
– Assurez-vous de comprendre les détails du contrat de la location : durée de la location, le coût total, carburant, les frais en cas de retard, conditions d’annulation, etc.
– Vérifiez le type d’assurance inclus dans la location (par exemple : responsabilité civile) et la nécessité de souscrire une assurance supplémentaire.
– Assurez-vous de bien comprendre le montant de la franchise en cas de dommage ou de vol du véhicule.
– Soyez sûr de comprendre le fonctionnement de la caution.
– Assurez-vous d’avoir un numéro de contact de l’agence en cas d’urgence ou de problème avec le véhicule.

Les préparatifs

Si vous avez réservé la voiture en ligne ou par téléphone, apportez à l’agence une copie de la confirmation de réservation qui indique les détails de votre location. De même, si vous avez souscrit une assurance tierce collision ou si votre assurance personnelle couvre la location de voiture, présentez à l’agence une copie de la police d’assurance et les détails de la couverture.
Ajustez le siège, les rétroviseurs et le volant. Familiarisez-vous avec les commandes essentielles, notamment les phares, les essuie-glaces, la climatisation et le chauffage. Si le véhicule est équipé d’un système GPS, prenez un moment pour comprendre son fonctionnement. Familiarisez-vous aussi avec le système multimédia automobile. Repérez les ports USB et les chargeurs.

Une conduite sereine

Sur la route, on s’arme de beaucoup de prudence, mais si on a déjà cette qualité de bon conducteur, il y a une règle qu’il ne faut pas négliger, c’est de prendre soin de son moteur grâce à quelques gestes simples. Spécialement pour un moteur Diesel, l’étape de la mise en route s’avère cruciale. Le principe est bien différent de celui du moteur essence. En démarrant sa voiture, la montée en température a toute son importance.

Pour ce faire, on commence par préchauffer en attendant qu’une minute s’écoule, et que le témoin s’éteigne, c’est le moment d’appuyer sur l’accélérateur. En prenant le temps de laisser tourner le moteur, toutes les pièces mécaniques prennent l’huile, leur permettant d’assurer leurs rôles, en même temps que le turbocompresseur.

Les moteurs Diesel sont destinés à la conduite en douceur, ils n’apprécient ni les démarrages brusques, ni les vitesses élevées dans un temps prolongé.

Entretien, astuces pratiques

Le gazole Premium est un meilleur choix, il préserve le moteur, et fait beaucoup moins de déchets. Son coût étant plus onéreux, sa qualité haut de gamme améliore l’état général du moteur Diesel plus longtemps.

Mais, attention, on n’oublie pas de jeter un œil de temps en temps dans le réservoir qui ne doit pas rester vide, surtout en période estivale. L’excès de chaleur va faire effet en mélangeant le gazole avec l’eau, ce qui implique forcément un problème au niveau des injecteurs, et de la pompe. Le réservoir devient très vite une niche à bactéries. On n’attend donc pas de le remplir, il faut réagir dès que la jauge est réduite à moitié.

Vidange et remplacement

On doit penser à changer l’huile moteur pour un entretien réussi de son moteur Diesel. Sa durée de vie est déterminée en fonction de la fréquence de conduite, et des conditions d’utilisation. En respectant les réflexes appropriés de la conduite sur route, le risque de détérioration est moindre.

Les intervalles de vidange d’huile sont à suivre aux pieds de la lettre. L’huile de basse qualité n’est pas du tout recommandée pour un moteur aussi délicat. On évite également de mélanger les huiles, sachant que l’utilisation d’un même produit apporte toute sa performance au moteur. Par ailleurs, les filtres à air et à gazole nécessitent d’être remplacés afin que le moteur remplisse confortablement ses fonctions.

La praticité d’un VTC à Cannes

Disposer d’un moyen de locomotion à Cannes est un avantage, c’est pratique. Vous pouvez facilement effectuer tout ce que vous devez faire dans les temps. Même si vous n’êtes là que pour une journée, vous pourrez remplir votre mission sans problème. Tout est plus simple à Cannes une fois que vous êtes véhiculé. Et ça l’est encore plus si vous commandez un VTC à Cannes qui vous récupère dès votre arrivée à l’aéroport de Nice. De cette manière, pas de perte de temps, vous pouvez commencer votre travail même dans la voiture. En effet, vous choisissez la voiture qui vous plaît, la plus confortable pourquoi pas. Donc, vous pouvez bosser sur vos dossiers ou sur votre discours dans le calme. Sinon, c’est parfait aussi pour une petite sieste.

Faites appel à un VTC

Il y a beaucoup d’avantages à faire appel à un VTC pour votre séjour à Cannes. Vous jouissez d’une voiture de qualité, d’un chauffeur expérimenté et qui vous fera gagner du temps. Certains chauffeurs sont disponibles 24h/24 et 7jrs/7, donc vous pouvez les appeler à tout moment. D’ailleurs, contrairement à ce que certains peuvent le croire, les tarifs de ces taxis sont abordables.

Les coûts annoncés sont fixes, aucun risque d’avoir une facture avec un surcoût. Pour avoir un taxi à votre disposition dès votre débarquement à l’aéroport de Nice, vous n’avez qu’à passer un coup de fil. Il est aussi possible de faire une réservation en ligne en précisant la durée de location voulue. Faire appel à un VTC pour vous récupérer à l’aéroport de Nice est une excellente idée. Vous allez gagner du temps et faire des économies, le tout dans le confort total.

Comment se passe une formation taxi ?

La durée d’une formation taxi peut être de 150 à 250 heures selon le centre de formation que vous consultez. Le coût de la formation varie ainsi de 400 à 1500 €, et il vous est possible d’utiliser votre compte personnel de formation. Notez que le prix de la formation taxi Paris n’inclut pas celui de l’examen CCPCT qui est de 195 €. Durant la formation, le candidat acquiert les compétences nécessaires pour passer les épreuves qui seront présentées lors de l’examen. Ce dernier se divise par ailleurs en deux parties, dont une théorique et une pratique.

Dans quel établissement suivre une formation initiale taxi à Paris ?

Trouver une école de conduite permettant de suivre une formation initiale taxi à Paris n’est pas une tâche compliquée. En effet, les centres de formation taxi à Paris sont nombreux comme ecft.fr par exemple. Il vous suffit de choisir l’établissement le plus proche de chez vous qui propose une formation initiale taxi à la fois complète et abordable. Notez que la licence que vous obtiendrez par la suite vous permettra uniquement d’exercer dans votre département. Pour conduire votre taxi dans d’autres départements, vous devrez suivre une formation de mobilité auprès d’un centre de formation taxi.

Que faire après l’examen ?

Si vous réussissez à l’examen du CCPCT, vous pouvez obtenir une carte professionnelle après en avoir effectué la demande auprès de votre département. En ce qui concerne l’ADS (Autorisation de Stationnement), son acquisition peut s’effectuer de plusieurs façons. Vous pouvez par exemple faire une demande auprès de la Mairie ou l’acheter à un autre taxi. Et enfin, vous aurez besoin de définir votre statut (artisan, salarié ou locataire de licence). Notez que la licence a une durée de validité de 5 ans. Lorsque celle-ci expire, vous devrez la renouveler en suivant un stage de formation auprès d’une école de conduite de taxi à Paris.

A propos du certificat de cession

Dans la procédure pour faire la déclaration de cession, il faut au préalable remplir le certificat de cession, le Cerfa 15776*01. Vous trouverez ce formulaire en ligne sur le site www.declaration-cession.fr, comme c’est le cas de tous les documents administratifs depuis quelques années. C’en est fini des déplacements en préfecture pour cette démarche, c’en est fini également de la file d’attente et les longues heures perdues. À présent, vous n’avez qu’à aller sur Internet, vous vous rendez sur le site dédié et vous suivez les instructions. La tâche est devenue très facile et bien plus simple, ce que vous apprécierez surtout en cette période de Covid-19. Tranquillement chez vous, à n’importe quel jour et quelle heure de la journée ou de la nuit, en jour ouvré ou le week-end, même les jours fériés, le site officiel reste disponible, vous pouvez accéder au certificat de cession et le remplir. Évidemment, si vous avez besoin d’aide pour cette démarche, peut-être parce que vous n’êtes pas habitué à vous servir de matériel informatique ou bien d’Internet, deux solutions s’offrent à vous. Soit vous vous rendez en préfecture, mais pour vous faire accompagner par un agent sur place, soit vous confiez cette démarche à un professionnel privé et agréé par le ministère de tutelle. Bien sûr, vous pouvez aussi vous faire aider par un ami ou un membre de votre famille.

Comment remplir le certificat de cession ?

Si vous tenez à vous charger vous-même du certificat de cession, voici comment le faire correctement et le compléter comme il faut. Déjà, rassurez-vous, que vous soyez allergique à tout ce qui touche aux démarches administratives ou à Internet, il n’y a rien de compliqué dans tout cela. Donc, le formulaire Cerfa 15776*01 comporte 3 parties bien distinctes à remplir avec rigueur. Veillez à ne commettre aucune faute ni à omettre quoi que ce soit. La moindre erreur et le plus infime oubli peuvent bloquer le processus et retarder votre transaction. La première section à remplir concerne le véhicule que vous mettez en vente ou que vous donnez. Indiquez-y toutes les informations qui permettent d’identifier le véhicule, entre autres choses son numéro de certificat d’immatriculation, son numéro VIN, son kilométrage, etc. Normalement, vous devriez y reporter les informations essentielles qui apparaissent sur la carte grise. La seconde section, c’est pour vous, c’est-à-dire les informations vous concernant. Vous devez y mentionner votre nom et votre prénom, votre nom d’usage, votre adresse personnelle, etc. Enfin, la troisième section du certificat de cession est réservée aux informations relatives au futur propriétaire du véhicule. Là aussi, il faut mentionner ses nom et prénom, son sexe, son adresse et d’autres informations personnelles. À préciser tout de même que la loi vous autorise, vous et l’acquéreur, d’indiquer sur votre exemplaire personnel du certificat de cession si vous voulez vous opposer à l’utilisation de vos données personnelles à des fins commerciales. Cela vous épargnera d’être inondé d’offres publicitaires et de prospectus commerciaux.

Le cadre sur le véhicule

C’est à vous, en tant qu’ancien propriétaire du véhicule de remplir le cadre relatif au véhicule et ci-après ce que vous aurez à préciser : d’abord, le numéro d’immatriculation du véhicule et son numéro d’identification. Pour trouver quel est ce numéro d’identification, c’est celui qui figure à différents endroits du véhicule, sur le moteur, sur le pare-brise, sur l’ordinateur de bord, sur le châssis, mais également sur la partie E de la carte grise. Il s’agit d’un nombre à 17 chiffres que l’on appelle habituellement numéro de série. Indiquez ensuite la date de première immatriculation du véhicule, sa marque, sa variante, sa version et son type (ou son modèle), son genre national (s’il est français, allemand, coréen ou autre). Vous devez aussi mentionner sa dénomination commerciale et le kilométrage sur le compteur du véhicule. Que devez-vous renseigner d’autre ? Si vous avez la carte grise en votre possession, cochez la case « Oui » et précisez le numéro de formule de la carte grise si celle-ci est du nouveau format (AB-123-CD) ou la date de la carte grise si elle est encore de l’ancien format (123-AB-45). Mais si vous n’avez pas la carte grise sur vous pour une raison ou une autre, expliquez ce motif. Mais sachez qu’en l’absence de la carte grise barrée suite à la cession, vous ne pouvez pas mettre en vente votre véhicule. Vous devez d’abord faire la démarche pour en obtenir une nouvelle et là, vous devez la barrer et y inscrire la mention « Vendu le… » en indiquant la date et l’heure de la cession. Vous devez ensuite signer ce certificat d’immatriculation barré et si vous êtes plusieurs à en être titulaires, chacun de vous devra le signer.

Le cadre vous concernant

Sur le certificat de cession, il y a une section qui vous est réservée et vous devez y reporter les informations vous concernant. Autrement dit, indiquez vos nom et prénom, votre nom d’usage, votre sexe et votre adresse personnelle. Mais si vous n’êtes pas une personne physique, mais morale, c’est-à-dire que c’est une entreprise qui est propriétaire du véhicule mis en vente ou cédé, il faudra indiquer la raison sociale, le numéro SIRET et l’adresse du siège social de l’entreprise. Puis, précisez la nature du transfert de propriété : s’agit-il d’une vente ou d’un don ? Dans ce cas, cochez la case « Céder ». Mais si vous destinez votre véhicule à la destruction, alors cochez la case « Céder pour destruction ». Quoi qu’il en soit, il faut écrire la date et l’heure de la cession, la date et lieu d’établissement du document et votre signature en tant que vendeur ou donateur. En cas de vente ou de cession à titre gratuit, cochez les 2 premières cases stipulant que vous avez bien remis le certificat de non-gage du véhicule au futur propriétaire et que les informations sur le véhicule correspondent parfaitement à celles figurant sur la carte grise et au numéro VIN. Pour rappel, le certificat de non-gage est indispensable pour prouver à l’acquéreur que votre véhicule ne fait l’objet d’aucun gage ni d’aucune opposition et qu’il est libre d’être vendu à qui vous le voulez. Maintenant, si vous cédez votre véhicule pour destruction, cochez la case certifiant qu’il est cédé à un centre VHU agréé et mentionnez le numéro d’agrément de celui-ci.

Le cadre renseignant sur le nouveau propriétaire

Dans le cadre concernant le nouveau propriétaire, quelques éléments sont à préciser. D’abord, si c’est une personne physique, il faut inscrire son nom, son prénom, son nom d’usage, son sexe, son adresse personnelle. Puis, s’il s’agit d’une personne morale, indiquez la dénomination sociale, le numéro SIRET et l’adresse de l’entreprise. Ensuite, indiquez la date et lieu d’établissement du certificat de cession, et le nouveau propriétaire doit le signer. Mais ce dernier doit aussi cocher les 2 cases qui attestent qu’il a acquis le véhicule aux date et heure indiquées sur le certificat de cession et qu’il est au courant du contenu du certificat de non-gage du véhicule. En fait, une fois rempli, vous devez imprimer le certificat de cession en deux exemplaires et en donner un à l’acheteur, une fois que vous avez tous les deux pris connaissance de la teneur du document et vérifié que tout est conforme puis le signer. Bien sûr, s’il y a plusieurs cotitulaires, il est nécessaire que tous signent le document pour qu’il soit valide aux yeux de la loi. À rappeler que ce document est obligatoire, vous ne pouvez tout simplement pas ignorer cette étape dans le processus de vente ou de cession. Personne n’est exempté de ce certificat, utile par ailleurs, aussi bien pour vous que pour le nouveau propriétaire. Par contre, si vous n’avez pas le temps de vous occuper de cette formalité, vous pouvez demander à un prestataire privé de le faire. Ce peut être un professionnel habilité ou un garage agréé, mais dans tous les cas, vous devez lui remettre un mandat en bonne et due forme. C’est seulement en possession de ce document qu’il peut réaliser la démarche en votre nom.

La déclaration de cession selon la loi

Aussi appelé acte de vente, la déclaration de cession est imposée par la loi. Une fois que vous aurez rempli correctement le formulaire type, vous devez informer le ministère de l’Intérieur du changement de propriétaire. Pour ce faire, en application du Plan Préfecture Nouvelle Génération ou PPNG, cette déclaration de cession se fait en ligne, et uniquement en ligne, et ce, dans un délai de 15 jours. Sur quel site devez-vous accomplir cette formalité ? C’est sur le site de l’Agence Nationale des Titres Sécurisés ou ANTS ou bien sur un site privé, mais dans ce cas, ce n’est pas à vous de vous en charger, mais aux professionnels derrière ce site. Mais si vous vendez ou cédez votre véhicule à un professionnel de l’automobile, les choses sont plus simples. Comment cela ? En fait, ces professionnels ont, le plus souvent, l’habilitation requise pour accéder directement au fichier des cartes grises. Mais si celui à qui vous vous adressez ne possède pas cette habilitation, il doit se rendre sur le site de l’ANTS pour la formalité ou bien mandater un prestataire privé. Sinon, dès lors que votre déclaration de cession sur le site de l’ANTS est enregistrée et validée, vous recevrez un code de cession. Conservez soigneusement ce code car le nouveau propriétaire en a besoin pour ses propres formalités d’immatriculation. À savoir que la déclaration de cession peut être effectuée par toute personne physique, c’est-à-dire particuliers ou entrepreneurs individuels. Cette démarche peut aussi être réalisée par toute personne morale, peut-être une association, une société, un syndicat, etc. La seule condition, c’est que la personne qui effectue la démarche doit être le titulaire du véhicule.

Recourir au BCT

S’adresser au Bureau Central de Tarification aide les conducteurs résiliés à trouver une police d’assurance. Cette autorité administrative indépendante intervient quand vous avez essuyé un refus auprès de plusieurs compagnies d’assurance. Dépendant de l’Agira, le BCT fixe la tarification auprès de l’assureur avec une seule garantie : la responsabilité civile. Celle-ci couvre tous les dommages matériels et corporels que vous pourrez causer à autrui avec votre voiture. Pour cela, il faut fournir la notification de refus de l’assureur, les propositions d’assurance et les relevés d’information.

L’aide d’un courtier en assurance

Ce spécialiste aide le conducteur résilié dans ses recherches d’assurance auto. Il peut vous trouver un assureur et négocier le coût de votre assurance. Si vous ne comptez pas collaborer avec un courtier en assurance auto, effectuez seul votre recherche. Surtout, ne vous découragez pas, car pas mal de compagnies d’assurance acceptent d’offrir une assurance aux profils à risque. D’autres se sont même spécialisées dans l’assurance pour conducteur résilié. C’est notamment le cas du cabinet de courtage azur-conseil.fr. Ce type de structure recherche des contrats avec des tarifs assez raisonnables et propose différentes formules avec de bons niveaux de garanties. Certaines compagnies acceptent une résiliation suite à un ou plusieurs accidents, retrait ou suspension de permis.

Réduire le coût de l’assurance

Il est parfaitement possible d’économiser sur le prix de l’assurance auto, même si on est résilié par son assureur. Pour cela, il faut opter pour les voitures de petite cylindrée dont l’assurance est facturée moins cher. La cotisation est nettement moins chère si vous conduisez un véhicule d’occasion avec une formule assurance au tiers. Enfin, l’assurance au kilomètre ou petit rouleur ou pay as you drive permet de bénéficier d’une prime d’assurance basée sur la distance parcourue. Ainsi, vous réaliserez des économies en roulant peu et en respectant le kilométrage estimé.